La montagne de Céüse ( Cé-use les souliers)

Publié le 19 août 2025 à 00:57

La montagne de Céüse est un sommet montagneux des Hautes-Alpes culminant à 2 016 m d'altitude. C'est un site classé Natura 2000. Elle constitue le point culminant du massif du Bochaine. Elle abrite de grandes parois d'escalade.

La montagne de Céüse abrite une petite station de ski sur la commune de Manteyer ainsi qu'au col des Guérins, au-dessus de Sigoyer. Cette station a été fermée durant l'hiver 2020.

Plus d'infos en cliquant sur la photo ci-dessus.


Mes photos:

 

Caractéristique de ma randonnée:

Date: 16 Août 2025

Commune: Manteyer (05)

Parcours: 10,930 km

Durée totale: 6 h 25

Dénivelé positif: 560 m

Point haut: 2016 m

Point bas: 1433 m

Retour au point de départ: Oui

Niveau de difficulté: Difficile

Recommandations:

Randonnée à peine ombragée au départ.

Côte assez raide jusqu'au Pas du Loup.

ATTENTION:

Nous avons raccourci la rando par rapport au tracé initial prévu sur Visorando. Nous avons pris à droite juste avant le point 6 que vous verrez sur la carte sur Visorando.


Découvrez le récit captivant de ma randonnée :

 

Aujourd’hui, c’est le grand départ !

Avec mon pote Thomas, nous partons enfin à la conquête du Pic de Céüse, ce sommet mythique qui domine l’Ouest de Gap, dans les Hautes-Alpes. Depuis longtemps, j’avais envie de découvrir cette montagne en forme de fer à cheval, aussi belle que mystérieuse.

Sous un ciel radieux et une chaleur annoncée à 33°C, nous nous lançons dans cette aventure estivale, impatients de fouler les sentiers qui serpentent jusqu’à cette crête légendaire. Entre effort, frayeur dû à un éboulement et paysages grandioses, la journée s’annonce inoubliable.

Aujourd’hui, ce n’est pas seulement une randonnée :

c’est un rêve de longue date qui prend vie au cœur des Alpes.


9h43:

Ça y est, le moment est venu : je suis gonflé à bloc à l’idée de partir à l’assaut du Pic de Céüse, et encore plus heureux de partager cette aventure avec mon pote Thomas. Après avoir pris le temps de bien nous préparer, nous chaussons nos sacs et nos chaussures, direction le sentier qui démarre juste en contrebas de la voiture.

À peine les premiers pas, un panneau nous rappelle d’être attentifs aux troupeaux de moutons qui vivent ici, dans la montagne. L’aventure commence dans un passage ombragé, agréable mais bref… très vite, nous savons que la fraîcheur ne sera qu’un souvenir. Alors, pas question de ralentir : on poursuit notre chemin, ce sentier qui descend doucement, comme une invitation à aller plus loin, vers la découverte.


9h48:

Premier arrêt stratégique : un petit cours d’eau en bas du chemin. Évidemment, Thomas s’installe au bord et savoure la fraîcheur comme s’il avait trouvé son paradis. Honnêtement, il pourrait rester là des heures, les pieds dans l’eau, le regard dans le vague… Ce type devait être poisson dans une autre vie ! 🐟

Moi, un peu plus pragmatique, je profite de l’occasion pour sortir ma gourde filtrante ÖKO et la remplir d’une eau bien fraîche. Lui, il médite au bord de la rivière, et moi je me prends pour un aventurier qui assure sa survie dans la nature. Bref, chacun son délire, mais le chemin, lui, nous attend encore !


9h51:

Sur la berge, impossible de ne pas remarquer le Grand Pétasite, avec ses feuilles énormes qui ressemblent presque à des parasols naturels. On dirait que la plante a décidé de créer son propre coin d’ombre au bord de l’eau. 🌿

Le Grand pétasite, ou Pétasite hybride, plus rarement appelé Chapelière ou Grand pas d'âne (Petasites hybridus, anciennement Petasitus officinalis), est une espèce de plantes à fleurs de la famille des Astéracées.

 

Plus d'informations en cliquant sur l'une des photos


9h52:

Un peu plus haut, nous tombons sur un autre cours d’eau. L’eau n’est pas très claire, mais avec ma gourde filtrante ÖKO, je pourrais la boire sans problème… sauf qu’elle est déjà remplie !


9h59:

Bon, assez rigolé au bord des ruisseaux… maintenant, place aux choses sérieuses ! C’est l’heure de la montée : pousser sur les jambes, s’appuyer sur les bâtons, et surtout franchir ce premier vrai obstacle qui nous barre la route.

Et comme si ce n’était pas assez sportif, voilà que les taons décident de se joindre à l’aventure. Ces charmantes petites bêtes, cousines musclées des mouches, ont la fâcheuse habitude de voler en escadrille et de tester nos mollets avec leurs piqûres dignes de mini harpons. Autant dire qu’ils vont être nos coachs personnels pour accélérer le rythme de la rando !


10h03:

Ça grimpe pour de vrai !

Chaque pas tire sur les jambes, mais on garde le cap : notre objectif est clair, atteindre le bord de la crête.


10h08:

Sur la photo, on voit bien l’inclinaison du terrain… et je vous jure que, selon moi, ça tape facile les 50 % de pente. Pas moins ! Mes cuisses confirment, elles sont en mode « brûlage intégral »


10h15:

La lavande officinale est une plante très appréciée pour le doux parfum qu’elle dégage. Souvent cultivée dans les jardins, elle se distingue par les reflets argentés de son feuillage. La lavande officinale se termine par des épis de fleurs d’un magnifique bleu-violet. Son odeur repousse certains insectes comme les moustiques, mais visiblement pas les Taons.

 

Plus d'infos en cliquant sur la photo.


10h19:

À cet endroit précis de la montée, là où la photo a été prise, un bruit lourd résonnait dans la montagne. Je me tenais au bord de la falaise, et ce que j’entendais m’a glacé le sang : un éboulement. La roche se détachait avec fracas, juste en-dessous de moi, et le tumulte des pierres s’entrechoquant résonnait comme un grondement vivant, comme si la montagne elle-même se mettait en colère. Mon cœur battait à tout rompre. Instinctivement, je me suis écarté du sentier, gardant une distance de sécurité, espérant que la nature, dans sa force brute, ne me toucherait pas. Ce moment, ce bruit, cette violence invisible, m’a rappelé combien la montagne peut être à la fois magnifique et terrifiante.


10h29:

Sur cette photo, je tenais à montrer l’endroit où nous allons passer : toute la crête, de gauche à droite.


10h31:

Pour analyser les sommets environnants, j’ai utilisé l’application Peak Finder. Grâce à elle, j’ai pu identifier précisément le Pic de Bure, un sommet que j’ai adoré gravir et qui occupe la deuxième place dans mon classement des plus belles randonnées. Ce massif est vraiment imposant, et je sais que Thomas a beaucoup observé ce sommet tout au long de notre randonnée. L’application m’a permis de mieux comprendre le paysage autour de nous et d’identifier ce sommet qui m’a tant marqué.


10h53:

Sur cette photo, on voit vraiment l’inclinaison de la montagne de Céüse, et le sommet approche à grands pas. Il reste encore un peu de marche, mais le relief me fascine.


11h01:

Depuis le début de la randonnée, nous attendions le tir des militaires, probablement en entraînement quelque part dans le secteur. L’écho des coups de feu résonnait puissamment contre la paroi rocheuse que l’on voit sur la photo, et c’était assez impressionnant à entendre. Ils ont tiré, il me semble, jusqu’à environ 11h30, ponctuant notre montée d’un bruit qui semblait venir de toute la montagne.


11h18:

Sur la photo, on voit là où nous sommes passés, tout le long de la crête sur la droite, en partant d’en bas, bien sûr.


11h25:

À un moment donné, nous avons dû tourner sur notre droite, et c’est là que nous avons aperçu ce petit rocher peint, représentant un randonneur avec un sac à mon goût un peu… costaud. Mais franchement, cette peinture est vraiment jolie. J’ai adoré ce petit galet décoré de cette manière, c’était magnifique, et c’est pour ça que je tenais à le montrer en photo.


11h30:

Sur cette photo, on voit le Pic de Bure, avec son vaste plateau, là où se dressent les antennes de NOEMA, ce réseau impressionnant de radiotélescopes qui scrute l’univers lointain. Même si elles sont techniques et imposantes, elles semblent à leur place sur ce plateau majestueux, comme des sentinelles silencieuses veillant sur la montagne. J’adore vraiment cette montagne. Chaque pas de cette randonnée a été un pur bonheur, et le plaisir de gravir ses pentes, de contempler ses panoramas et de sentir l’air vif sur le plateau restera gravé dans ma mémoire. En cliquant sur la photo, vous pouvez accéder à la page Wikipédia du plateau de Bure.


11h34:

Ces fissures me rappellent le bruit assourdissant de l’éboulement que nous avons entendu plus tôt. Avec la chaleur qu’il fait, je me dis que la montagne pourrait encore nous jouer des tours… et qui sait, peut-être qu’un jour elle décidera de se décrocher justement par ces fissures !

Heureusement, on est encore là pour en rigoler… pour l’instant !


11h34:

En montant, nous sommes tombés sur cet arbre, et j’étais curieux de savoir ce que c’était. Il s’agit de l’Alisier blanc, aussi appelé sorbier des Alpes. Cet arbre se reconnaît facilement à ses feuilles composées et à ses grappes de petites fleurs blanches au printemps. Il pousse surtout en montagne, souvent sur des sols rocheux, et ses baies rouges attirent les oiseaux à l’automne. J’ai trouvé intéressant de croiser cet arbre lors de notre randonnée.

 

En cliquant sur la photo, vous pourrez accéder à plus d’informations à son sujet.


11h48:

Sur la première photo, on aperçoit de loin un petit panneau. Au premier regard, je me suis dit en rigolant : « Si on ne tient pas à la vie, on prend à gauche ; si on veut vivre, c’est à droite ! »

En s’approchant un peu, on a vite compris qu’on était au Pas du Loup. Sur une autre photo, on voit bien le sentier, tout petit, pas très large… je pense qu’il mène soit à la forêt en contrebas, soit au pied des falaises pour les grimpeurs.

Mais attention : pour emprunter ce sentier, il ne faut vraiment pas avoir le vertige ! Nous, nous prenons plutôt la direction du sommet, qui s’approche à grands pas.


12h03:

Sur la photo, on aperçoit tout au loin le haut des télésièges de la station de ski, et c’est exactement là que se trouve le pic de Céüse.

On l’aperçoit à peine, mais il attire irrésistiblement le regard.

Nous avançons, mais vraiment, à grands pas, vers le sommet.

La côte devient plus douce, la pente moins impressionnante… mais l’excitation monte, palpable.

On sent qu’on approche de ce point culminant tant attendu, et chaque pas nous rapproche un peu plus de cette montagne que j’adore.


12h25:

Après une montée pleine de sensations et d’efforts, nous avons enfin atteint le Pic de Céüse, à 2016 mètres d’altitude. Le sommet s’ouvre devant nous, imposant et un peu intimidant, et nous savourons cet instant comme de véritables aventuriers. Mais… les taons sont toujours là, tournant autour de nous comme de vrais vautours affamés ! On rigole, on se prend en photo, on tourne quelques vidéos pour les réseaux sociaux, puis, sans trop traîner, nous reprenons la randonnée, prêts pour la suite de cette aventure épique.


12h37:

Juste après le Pic de Céüse, nous avons aperçu de gros oiseaux noirs, visibles surtout sur les photos.

En écrivant cet article, je me suis lancé pour identifier cet oiseau, et j’ai même reçu un peu d’aide via les réseaux sociaux.

Pour pimenter le tout, il y a ci-dessous un petit sondage : je vous laisse deviner de quel oiseau il s’agit !

Et pour connaître la réponse, il vous suffit de cliquer sur la photo – là, vous découvrirez enfin ce mystérieux visiteur ailé.

Selon vous, cet oiseau est:


12h38:

On est vraiment au bord de la falaise, et là, sous nos yeux, on distingue parfaitement le terrain de jeu de ceux qui viennent s’attaquer à ces parois en escalade.

C’est franchement impressionnant… mais pour le moment, personne en vue.

Apparemment, ils ont décidé de jouer à cache-cache avec nous !


12h47:

En me retournant, j’observe la forme du Pic de Céüse, et je reste fasciné par son inclinaison incroyable. Ça me fait un peu penser à une rampe de lancement, prête à propulser vers le ciel tout ce qui ose s’y aventurer. La pente est spectaculaire, et je ne me lasse pas de la contempler.


12h49:

Lors d’une courte pause, le temps de faire quelques photos, j’ai posé mon sac et… surprise : j’ai aperçu une punaise dessus !

Curieux, j’ai demandé à une connaissance de m’aider à l’identifier.

Juste en dessous, j’ai mis un petit sondage pour voir si vous connaissez l’identité de cette punaise. Et pour découvrir la réponse, il vous suffira de cliquer sur la photo pour connaître l’espèce exacte.

 

Il y a deux sondages sur cet article. Mettez en commentaire, en bas de page, le nombre de bonnes réponses que vous avez fait. Merci.

Selon vous, c'est quel type de Punaise?


13h13:

Bien plus loin, nous avancions dans des herbes un peu hautes, grouillantes d’insectes en tout genre, dont les fameux Grillons des Bois. Franchement, je n’étais pas super à l’aise… Je ne peux pas dire que je sois exactement le meilleur ami des insectes ! À chaque pas, je guettais leurs sauts imprévisibles, leurs petits bruissements… un vrai concert miniature sous mes pieds.

Mais, petit à petit, je commence à apprendre à les apprécier. Pas sûr que je leur fasse un câlin un jour, mais je me surprends à observer ces petites créatures avec un mélange d’amusement et de fascination. Les randonnées, c’est aussi ça : apprendre à coexister avec tous les habitants de la montagne, même ceux qui ont six pattes et un sens du rythme très particulier !


13h15:

Nous arrivons à un endroit qui a immédiatement attiré mon attention : le haut de la Via Ferrata de Céüse. En écrivant ces lignes, je prends le temps d’observer le parcours et de me renseigner un peu plus sur cette aventure verticale. J’ai même regardé quelques vidéos sur YouTube pour mieux comprendre le tracé. Cette Via Ferrata est relativement courte, mais elle culmine à 60 mètres de haut, ce qui reste impressionnant pour ceux qui aiment se mesurer aux parois.

 

Pour en savoir encore plus sur cette Via Ferrata, il vous suffit de cliquer sur l’une des photos : vous serez redirigés vers un site qui rassemble toutes les informations pratiques et utiles sur le parcours.


13h42:

Sur cette photo, on peut vraiment admirer la forme géologique de la montagne, la célèbre crête de Céüse, qui me fascine encore et toujours. Bien sûr, nous aurions dû passer au sommet de cette crête, mais en ne regardant pas assez attentivement la carte, nous avons pris le passage en contrebas.

Qu’importe : cela ne nous a pas empêchés de profiter pleinement du lieu et de passer un excellent moment à explorer ce coin incroyable.


14h24:

À cet endroit, on se regardait un peu perplexes : allons-nous passer par ce portillon… ou tenter l’escalade des fils barbelés au risque de finir avec des pantalons en lambeaux ?

Le suspense a été de courte durée : le choix fût vite fait.

Heureusement pour nos jambes et nos vêtements, le portillon a remporté la palme de la sagesse !


14h33:

En regardant la carte sur Visorando, je me suis rendu compte que le tracé prévu était un peu plus long que ce que nous pensions. Mais j’avais repéré un petit sentier, que l’on voit sur les photos, et qui mène à cette espèce d’antenne. Ce passage se trouve entre le point 5 et le point 6 sur la carte de Visorando. J’ai donc choisi de passer par ce chemin afin de couper à travers la station de ski et de retrouver un peu plus rapidement la voiture, sachant qu’après la randonnée, il nous restait quand même deux bonnes heures de route pour rejoindre notre cher village.


15h08:

Après une courte pause, un peu plus haut que l’antenne, nous avons repris notre chemin sur le sentier pour rejoindre le cœur de la station. Sur notre droite (au centre de la photo), au loin, se dessine le pic de Céüse, là où nous étions plus tôt dans la journée. Je reste émerveillé par le relief que nous offre cette montagne, avec ses formes si particulières et sa grandeur impressionnante.


15h14:

Thomas, en vraie chèvre des montagnes, descend le sentier à toute vitesse comme à son habitude. Et puis, soudain, je l’aperçois complètement arrêté au milieu du chemin, penché vers le sol, absorbé par quelque chose. En m’approchant, je découvre un trou dans la terre, sans doute creusé et agrandi au fil des pluies et des fontes de neige. Et là, je ne peux m’empêcher de me poser la question : quelle est sa profondeur ?


15h25:

Après quelques minutes de descente, nous arrivons enfin au cœur de la station de Céüse. Et là, surprise : elle est vraiment, vraiment très petite ! Je m’attendais à quelque chose de beaucoup plus grand. Mais ce qui m’interpelle encore plus, c’est l’état des bâtiments, et plus globalement l’état de la station. Franchement, à mon goût, ça ne donne pas du tout envie de venir skier ici : des pylônes complètement rouillés donnent une impression pour le moins inquiétante. Nous restons donc bouche bée, partagés entre étonnement et prudence face à cette station étonnamment vieillissante.


15h40:

Vu la taille relativement modeste de la station de ski de Céüse, je reste très impressionné par la largeur de la route sur laquelle nous nous trouvons. Par simple curiosité, j’ai pris la mesure un peu plus bas que sur la photo : nous étions alors à 11 mètres de large. À l’entrée de la station, cette largeur pourrait même atteindre 15 mètres. Je reste donc assez surpris : pour une station si petite, pourquoi construire une route aussi large ?

Telle est la question que je me suis posée sur le moment.


16h06:

En continuant notre descente vers le parking où m’attend ma voiture, je me tourne sur la droite et j’aperçois au loin toute la crête que nous avons parcourue tantôt. Une pointe de fierté me traverse : je suis vraiment content d’avoir découvert ces très belles crêtes. Mais à cet instant précis, mes jambes ne réclament qu’une seule chose : se reposer tranquillement dans un lit bien tendre, bien moelleux, car il faut bien l’avouer, la journée a été longue et intense.


16h07:

Et voilà, nous arrivons à quelques petits mètres de ma voiture, et là, nous faisons face à nouveau au Pic de Bure, ce sommet qui m’a tant marqué et que nous avons aperçu à plusieurs reprises au cours de la randonnée. C’est un peu comme si le pic nous faisait ses adieux, ou même nous disait “à très bientôt”, qui sait…


Notre randonnée touche enfin à sa fin, et je tiens à remercier Thomas pour m’avoir accompagné dans ce périple au cœur des Hautes-Alpes, à quelques pas du célèbre Pic de Bure.

Je suis vraiment heureux d’avoir découvert cet endroit que je rêvais de voir depuis longtemps, et encore plus content d’avoir pu le faire découvrir à Thomas.

La journée a été parfaite, le temps magnifique, avec ce petit vent rafraîchissant au sommet, malgré ces Taons qui nous titillaient un peu à longueur de journée. Mais dans l’ensemble, la randonnée a été super agréable, et je peux dire avec fierté et satisfaction : le Pic de Céüse, c’est fait !

 

FIN


Si vous ne voulez pas rater les prochains articles,

abonnez-vous à la Newsletter:

 


Suivez-moi aussi sur

FacebookInstagramYouTube & TikTok:

 


🥾 Hey, randonneur du web !
Si tu as aimé cet article, clique sur un de ces jolis boutons de partage.
Ça ne te coûtera rien, mais pour moi c’est comme trouver une fontaine d’eau fraîche après 8 km de montée. 💦
Chaque clic, c’est une petite tape dans le dos pour toutes ces heures passées à grimper, transpirer, prendre des photos (et éviter de tomber en arrière).
Alors vas-y, partage… et deviens mon héros de sentier ! 🏆

Ajouter un commentaire

Commentaires

Michel Cardelli
il y a 12 heures

Désolé David mais j'ai relevé 2 erreurs dans le quizz, tout d'abord le grand corbeau n'en est pas un, c'est un gypaète barbu on ne peut pas se tromper, il a 2 ailes et un bec. Quant à la soi-disant punaise des genêts c'est en fait un mille-pattes (je les ai toutes comptées, il n'en manque aucune...)