Le fort de Dormillouse par le Col Bas & le lac Noir (Une rando fort-midable)

Publié le 31 mai 2025 à 19:40

Construite en 1862, cette forteresse faisait partie du système de défense des Alpes du Sud contre l'Italie.

Description

Les militaires l'avaient appelée "batterie du col bas" alors qu'elle est implantée sur un sommet dont l'appellation locale traditionnelle est Dormillouse ce qui veut dire la dormeuse, qui est le nom populaire de la marmotte.
Le col bas est situé à plusieurs heures de marche de là, ce col était d'ailleurs jusqu'au XIXème siècle la voie de passage la plus fréquentée pour aller de Seyne en Ubaye.

Du haut de ses 2505m, elle surveillait la Vallée de l'Ubaye et contrôlait le passage du col, mais surtout, sa position élevée a été voulue pour pouvoir prévenir de l'arrivée des italiens, de Grenoble à Toulon. Deux postes équipés de lunettes optiques furent utilisés jusqu'en 1918. Les lacets de la route étaient si raides qu'il fallait à chacun dételer les chevaux, tourner les canons à bras et réatteler.
Les plus anciens de la vallée racontent que les militaires de Dormillouse qui s'ennuyaient ferme, pour se distraire, organisaient des bals et y conduisaient à dos de mulets les jeunes filles du canton. En 2002 la batterie a été restaurée par la CCVUSP (communauté de communes de la vallée Ubaye Serre-Ponçon) pour en faire un refuge.

 

Cliquez sur la photo ci-dessus pour plus d'informations.


Mes photos:

 

Caractéristique de ma randonnée:

Date: 30 mai 2025

Commune: Seyne (04)

Parcours: 11,440 km

Durée totale: 5 h 40

Dénivelé positif: 693 m

Point haut: 2505 m

Point bas: 1892 m

Retour au point de départ: Oui

Niveau de difficulté: Moyen

Recommandations:

Prévoyez de l'eau et de quoi se protéger du soleil, car il y aura peu de passages à l'ombre.


Voici l'histoire de ma randonnée:

 

Ce 30 mai 2025, j’ai fait quelque chose que certains qualifieraient de fou (et que d'autres appelleraient simplement “mon vendredi”).
Je suis parti seul en randonnée dans les Alpes, objectif : le mystérieux Lac Noir et le fort de Dormillouse. Rien que le nom promettait une aventure.

Le ciel était d’un bleu parfait, pas un nuage à l’horizon, comme si la météo m’avait passé un contrat de confiance. Tout semblait paisible… trop paisible. Et bien sûr, la montagne ne m’a pas déçu.

Après une belle mise en jambes, j’ai rencontré deux montées d’un enthousiasme débordant, du genre à faire réfléchir à ses choix de vie. Je ne sais pas qui a tracé ces sentiers, mais je soupçonne un alpiniste croisé avec un escaladeur de gratte-ciels. J’ai probablement brûlé plus de calories en dix minutes qu’en une semaine de salle de sport.

Et puis enfin… le fort. Majestueux, silencieux, avec quelques névés étincelants qui s'accrochaient encore aux pentes, comme s’ils ne voulaient pas laisser l’hiver partir.

La vue depuis là-haut ?
À couper le souffle. Littéralement. Parce que c’est magnifique. Mais aussi parce que, après ces deux montées, respirer était devenu un luxe.

Et moi, ce jour-là, j’ai trouvé un coin du monde où le silence parle fort, et où la beauté vous attrape par surprise.


9h37

La route qui mène de Seyne au parking du Col Bas ? Un vrai tunnel végétal : longue, étroite, et surtout en pleine forêt féérique (oui, celle où tu t’attends à croiser un elfe ou un sanglier philosophe).
Si tu croises une voiture en face… paix à l’âme de celui qui devra faire la marche arrière. C’est pas une route, c’est un test de sang-froid.

Après quelques kilomètres à frôler les branches et les nerfs, j’arrive enfin au parking du Col Bas.
Je m’équipe, j’ajuste les lacets, je souffle un bon coup… et c’est parti pour la rando, pile en même temps qu’un groupe de randonneurs. Pas seul, mais presque en mode départ groupé de course de fond... sauf qu’ici, c’est la montagne qui mène.


9h41

Juste au-dessus du parking, je prends à droite direction le Col Bas et le mystérieux Lac Noir.
Le chemin ? Large, roulant, presque trop facile… Tellement que même un 4x4 s’y sentirait en vacances.

Moi, par contre, j’ai que mes jambes et un sac à dos — mode rando activé !


9h47

Sur la photo, on peut voir une Pulsatille des Alpes, une jolie fleur de montagne reconnaissable à ses pétales blancs soyeux et son cœur jaune éclatant.
Elle pousse généralement sur les pentes ensoleillées entre 1 200 et 2 800 mètres d’altitude, au printemps.
C’est une espèce protégée, donc on l’admire… avec les yeux seulement !
👉 Cliquez sur la photo pour en savoir plus.


9h49

Sur les photos, vous reconnaîtrez une vieille conquête : le sommet du Blayeul, ce traître majestueux qui m’en a fait baver à l’époque.
On aperçoit aussi quelques autres sommets que j’ai déjà vaincus…

oui, oui, j’ai mes ex aussi côté montagne !


9h56

À cette intersection, je file toujours vers le Col Bas… juste avant une jolie petite montée qui pique.
Il faudrait d’ailleurs que le moteur chauffe vite.


9h59

Allez, c’est l’heure de forcer sur les jambes !
Le cardio ? Il va vite comprendre que ce n’est pas une balade digestive...

Les cuisses vont prendre feu dans 3… 2… 1… 🔥


10h16

J’arrive presque au Col Bas et déjà… de la neige en vue ! ❄️
Je commence à me demander si le sommet, c’est une rando ou une expé polaire…

à suivre !


10h18

Me voilà au Col Bas… face à deux mini lacs scintillants et un genre de refuge solitaire posé là, comme par magie.
L’endroit est tout simplement magnifique.

Un petit coin de paradis perché.


10h27

Après avoir traîné comme un lézard aux lacs, il est temps de bifurquer à gauche direction le Lac Noir !
Encore plein de pépites à découvrir… et sûrement quelques mollets à faire chauffer.


10h29

Petite pause : j’ouvre PeakFinder pour jouer au jeu des sommets 🌄📱.
Autour de moi, c’est mignon, calme… presque suspect.

Trop de paix d’un coup, j’me méfie 😄


10h43

Plus loin, revoilà la neige ! ❄️
Mais rien d’alarmant pour l’instant… juste de quoi réveiller les chevilles et glacer les orteils.


10h46

Plus bas, j’arrive dans une nouvelle plaine… et franchement, j’adore ces grands espaces !
Ça donne envie de courir, de tourner les bras façon "La Mélodie du Bonheur"… ou juste de s’allonger et rien faire 😄🌾


10h57

Je passe sous le télésiège des Lacs, qui relie le sommet du Col Bas (2310 m) au lac de la Cabane.
Il est à l’arrêt… tout comme moi, intérieurement.


11h06

Nouvelle session PeakFinder, mais cette fois… pour vous montrer où je dois grimper : direction le fort de Dormillouse !
Spoiler : c’est loin, c’est haut… et c’est pas plat 😅


11h08

Enfin arrivé au Lac Noir ! 🌑
Altitude : 2 124 mètres, jambes en feu, mais le paysage vaut chaque goutte de sueur.

Malgré son nom de film d’horreur, ce petit lac d’origine glaciaire est calme, sombre et mystérieux — un vrai miroir montagnard posé sous le fort de Dormillouse.
 Il tire son nom de la couleur sombre de ses eaux, souvent accentuée par l’ombre projetée par les crêtes environnantes.

Pas très grand, mais sacrément photogénique.

Pas de monstre marin en vue, juste un randonneur heureux et peut-être une marmotte curieuse


11h15

Les choses sérieuses commencent !
Fini les plats et les descentes tranquilles… place à la montée vers le fort !
Ça va bientôt piquer sévère.


11h36

Montée hard numéro 1, me voilà. 😅
Visorando a parlé, et apparemment, mes jambes n’ont pas leur mot à dire.

Le sentier grimpe droit dans le dur, alors j’appuie sur des cuisses déjà en feu. 🔥

Bon, y’avait un chemin plus cool… un poil plus long, mais pas en temps.
Mais non, j’ai choisi l’option guerrier, évidemment. Parce que pourquoi souffrir moins quand on peut souffrir plus ? 💪


11h46

Montée de l’enfer numéro 1 : terminée ! 😤
J’ai fini par quitter le tracé de Visorando (parce qu’il voulait ma peau) pour rejoindre le large sentier civilisé qui mène au fort.

Je longe maintenant le télésiège Dormillouse, lui aussi à l’arrêt…
J'avance à mon rythme, lui en mode pause café, moi en mode “j’ai survécu”.
Il relie le Lac Noir, le Lac du Milieu et le fort... et franchement, j’aimerais bien échanger ma place avec un siège.


12h00

Je m’approche d’un joli banc de neige, et franchement, la température est parfaite : ni trop chaud, ni trop glacière.

Et là, grosse tentation : je m’imagine descendre à fond les ballons en luge, cheveux au vent et cris d’enfant intérieur...
Bon, sauf que j’ai pas de luge.


12h07

La montée hard numéro 2 se dresse devant moi.
Je scrute la carte, et voilà qu’un tracé me fait traverser la neige.

Je médite un moment…
Un randonneur passe et choisit la neige, sur le sentier facile.
Après réflexion, je me dis : non, je suis un guerrier, je prends la montée hard numéro 2.
Désolé les jambes, préparez-vous… ça va piquer encore plus !


12h22

Après 15 minutes de torture intense, je retombe enfin sur le sentier qui mène au fort.
Mais surprise : un banc de neige bloque la route entre moi et le sommet.
Heureusement, un randonneur sympa m’avait donné le tuyau : il faut contourner.
Bon, ben voilà, c’est reparti pour l’aventure... avec un mini détour neigeux en prime !


12h25

Juste derrière ce banc de neige, le spectacle s’ouvre enfin devant moi : le lac de Serre-Ponçon.
Immense, étincelant sous le soleil, il semble s’étirer à l’infini au creux des montagnes.

Avec ses 28 km², c’est l’un des plus grands lacs artificiels d’Europe, créé dans les années 1960 pour réguler la Durance et fournir de l’électricité.
Son eau turquoise contraste magnifiquement avec le paysage alpin, offrant un panorama à couper le souffle.

Un vrai cadeau pour les yeux, un moment suspendu où la montagne et l’eau se rencontrent en parfaite harmonie.


12h26

Je me suis pris en selfie, histoire de prouver à certains que oui, c’est bien moi qui ai grimpé jusqu’au fort (et pas un sosie barbu).
Et pour les inconnus, voilà ma tête avec mon béret spécial rando, le vrai look « aventurier chic » !


12h32

Je peux enfin crier victoire — et pas juste un petit « ouf », non, un vrai cri de triomphe ! Me voilà au fort de Dormillouse, perché à 2505 mètres d’altitude, comme un roi de la montagne après trois heures de marche… tranquillou, enfin, façon rando version « je transpire, je souffle, je rêve d’un café ».

Je profite de faire le tour de ce fort impressionnant, une véritable forteresse du XIXe siècle construite dans un endroit stratégique pour défendre la vallée de la Durance. Avec ses murailles de pierre et ses bastions bien solides, on sent que ce vieux soldat a vu passer bien des tempêtes et des aventuriers en bottes. Il fait partie de la fameuse ligne Maginot alpine, un vestige militaire chargé d’histoire, un mélange entre un château-fort et un bunker, perdu au milieu de la nature sauvage.

Tout en tournant autour, je me prends aussi pour un explorateur en herbe en identifiant les sommets alentours : le pic du Morgon, les aiguilles de Chabrières, et bien sûr le lac de Serre-Ponçon qui scintille en contrebas comme un trésor secret.

C’est ici, au cœur de cette forteresse en altitude, que je prends ma pause bien méritée.

Je pose mon sac, sors la gourde, et profite du panorama… et surtout du silence, loin du brouhaha du monde.

Après ces trois heures de montée tranquillou (comprenez : « j’ai marché, j’ai râlé un peu, j’ai admiré beaucoup »), je savoure ce moment où je peux enfin souffler… mais bon, la montagne, ça ne s’arrête jamais, alors je garde mes forces pour la suite !


14h14

Après une bonne pause bien méritée au fort de Dormillouse, je décide de filer vers un point de vue un peu plus bas, un spot que m’avait chaudement recommandé un randonneur croisé en chemin. Faut dire que parfois, les meilleures surprises se cachent juste à côté, il suffit de tendre un peu plus l’oreille — ou les jambes ! 😄

Arrivé là-bas, je tombe sur une randonneuse de Haute-Savoie, sympa comme tout, qui faisait voler son drone autour du fort. Le petit joujou tournoyait dans les airs comme un aigle techno, capturant des images du fort sous tous les angles. On a papoté quelques minutes, échangeant anecdotes de rando et conseils.

Si par hasard elle lit cet article, je lui fais un coucou bien amical !

Très belle rencontre, ça fait toujours plaisir de croiser des passionnés qui partagent la même vibe.

Et ça m’a donné une idée : un jour, j’aimerais bien avoir mon propre drone pour immortaliser mes aventures depuis le ciel. Rien de tel que des photos aériennes pour donner un autre relief à ces paysages déjà magnifiques.

Bref, affaire à suivre… et en attendant, je continue de lever les yeux au ciel, en attendant de piloter mon futur mini-aigle !


14h16

L’heure est venue d’entamer l’ultime descente, celle qui me ramènera doucement vers la vallée, en empruntant le fameux sentier militaire. Un dernier défi à relever, une dernière épreuve avant de dire au revoir à ce lieu chargé d’histoire et d’émotions. Chaque pas me rapproche de la sortie, mais le chemin ne s’annonce pas de tout repos.

Alors que je progresse sur ce sentier, le paysage change peu à peu. Puis, sans prévenir, un passage délicat se présente : un banc de neige barre la route. Je n’ai pas d’autre choix que de m’enfoncer dans cette blancheur glacée, chaque pas s’enfonçant lourdement dans la poudreuse. Mes jambes protestent, la neige trempe mes chaussures.

C’est avec une pointe de tristesse que je m’éloigne peu à peu de ce fort de Dormillouse, ce témoin silencieux des batailles d’antan, ce géant de pierre qui m’a offert tant de vues grandioses et de moments suspendus.

Le sentier militaire, gardien du passé, me conduit doucement vers la fin de cette aventure, mais son souvenir restera gravé en moi bien longtemps.

Chaque pas dans la neige est un dernier hommage, un dernier contact avec cette montagne avant que je ne quitte ce lieu unique, emportant avec moi la magie de cette journée.


14h31

Il est maintenant l’heure de dire au revoir…
Au fort de Dormillouse, sentinelle silencieuse perchée sur son promontoire, témoin d’histoires oubliées et de randonneurs émerveillés.
Et au lac de Serre-Ponçon, majestueux miroir d’azur niché entre les montagnes, que j’ai contemplé des hauteurs avec un mélange de respect et d’éblouissement.

Ce n’est jamais facile de quitter un endroit qui vous a touché en plein cœur.
Mais c’est aussi ça, la beauté de la rando : partir, découvrir, s’émerveiller… puis repartir, les jambes un peu fatiguées, mais l’âme beaucoup plus légère.

À bientôt, peut-être… ou sûrement.


14h36

Bonne nouvelle : le sentier qui suit est facile, oui oui, vous avez bien lu !

Mes genoux lui disent merci. 😅
Et en prime, il offre de superbes vues sur la Fun Zone (non, ce n’est pas un parc d’attractions, mais presque !) avec son bassin tout droit sorti d’un décor de film… et sur la vallée, qui s'étale fièrement en mode carte postale.
Bref, un chemin détente pour les yeux et pour les cuisses !


14h40

Oui, encore une fois… PeakFinder est de sortie !
Parce qu’à force de voir des sommets partout, je finis par leur donner des petits noms (mais promis, celui-là, c’est le Blayeul, le vrai, l’unique, le coriace).
Grâce à l’appli, je vous ressors la liste des stars du jour, façon tapis rouge version montagne.
Et moi ? Je fais genre que je connais tous les sommets par cœur… mais chut, c’est notre secret !


14h43

Ce sentier en zigzag, bordé de vieux murs de pierres, me rappelle un coin d’Italie, dans le village natal de mon père.
Bon, ici, l’un des murs a clairement perdu contre un rocher… alors j’avance avec prudence, en mode équilibriste des Alpes !


14h55

Plus bas, le sentier longe une pente bien raide… clairement pas l’endroit pour tester la gravité !
On prend son temps, on assure chaque pas… le bout du chemin se mérite.


15h00

Un petit bruit me parvient du ciel…
Je lève les yeux, pensant voir un parapente, mais non : c’est un planeur qui fend l’air en silence.
Le pilote doit se sentir libre comme l’air, porté par les vents et les cimes.


15h11

Me voilà sous le télésiège de la Brèche… et là, petit moment de doute : comment ce pilier tout penché tient debout, résistant à la gravité ?
Par précaution, je vais pas m’attarder…

Allez, petit pas rapide et je trace !


15h43

Je jette encore un regard au sentier que j’ai emprunté pour descendre…
Un passage un peu vertigineux, certes, mais que j’ai adoré.

Faut pas tomber, mais qu’est-ce que c’est beau !


15h49

Je vois enfin le parking… et là, ma chère voiture m’attend, tranquille, en train de lézarder au soleil comme si de rien n’était.
La fin de la rando approche… et mes jambes applaudissent déjà !


15h56

Et voilà, la boucle est bouclée !

Me revoilà au pied du Col Bas, au fameux poteau "Sentier militaire sud", perché à 1990 mètres.
Le panneau n’a pas bougé… moi par contre, j’ai bien chauffé les mollets !


16h10

J’ai pris cette photo pour vous montrer précisément par où passe le sentier que j’ai emprunté.
On peut le suivre tout le long, serpentant à travers la montagne, comme un fil d’Ariane entre les rochers et les paysages grandioses.


16h14

Je me tiens juste au-dessus du parking, et là, à quelques pas, ma voiture apparaît, paisible et fidèle, comme une amie qui m’attend.
Ce simple regard vers elle me remplit d’une douce nostalgie, souvenir de la randonnée accomplie, des paysages gravés dans mon cœur et des instants précieux partagés avec la montagne.
Un mélange de fierté, de fatigue, et d’une tendresse infinie pour ce lieu qui m’a offert tant.

 

La randonnée est maintenant terminée, et je me retrouve rempli de souvenirs précieux de cet endroit que je suis venu découvrir après 2h30 de route.
Un peu épuisé, certes, mais surtout profondément ravi d’avoir vécu cette journée ici, sous un soleil éclatant, partagé entre panoramas splendides et belles rencontres tout au long du chemin.

À l’heure où j’écris ces mots, une douce nostalgie m’envahit, mêlée à la joie de pouvoir partager avec vous, chers lecteurs et lectrices, cette aventure au fort de Dormillouse.

Il est temps de reprendre la route, mais cette fois-ci en voiture. Du parking jusqu’à Seyne, je serai en bonne compagnie : celle de deux randonneuses auto-stoppeuses, que je salue si elles lisent ces lignes.

Merci à vous, lecteurs et lectrices, d’avoir pris le temps de me suivre dans cette escapade.

Votre présence ici donne encore plus de sens à ces moments passés en montagne.

À très vite pour une nouvelle aventure !


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Commentaires

Arnaud
il y a 12 jours

Toujours de superbes photos min petit David. Et tu vois pourquoi je t'obligeais à monter les marchés du cap negre? Pour te préparer à tes randos bien sûr. Tu pourrais au moins le dire merci 😁
Bonne soirée amigo